C’est LE français, ce Français de la première moitié du XXᵉ siècle qui était le gars du cru.

Il est loin des clichés véhiculés, il est cultivé, raffiné, avec une élégance et une classe née d’une simplicité de vie.

Émile, c’est le gars qui était aux champs dans le fin fond de l’Alsace de 4h du matin jusqu’à midi, et qui, après avoir revêtu son habit du dimanche emmenait les mamies au bingo du coin, danser sur les tables.

C’est le bonhomme qui est médecin au sein d’un hôpital de Lille, c’est le gars qui tenait le petit restaurant sur la côte du Var, le type qui se battait dans les tranchés, engagé dans la résistance, boucher dans le XVème, chauffeur à Clermont, ingénieur à Lannion, agriculteur à Orléans, maçon à Strasbourg ou encore marin basque partit à la découverte du Monde.

Émile, c’est un prénom qui représente la France et son terroir.

Lorsque vous êtes Chez Émile, au-delà d’un partage de culture et de terroir de l’une de nos régions, l’Alsace, la mienne, ce qui nous frappe, c’est de penser « C’est ça la France d’antan ! ».

Émile, c’est notre grand-père à tous, celui qui nous a appris à rester droit, simple et à aimer notre mode de vie à la française, notre café, nos croissants, nos plats régionaux, notre tradition, notre mixité, écouter notre instinct créatif et faire montre de notre capacité d’ouverture.

Émile, c’était mon grand-père